Mon Histoire

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Peut-être m'avez-vous déjà aperçu, peut-être même jugé. Je le sais : je peux paraître parfois « trop », exubérant, éclatant. Mais derrière cette lumière, il y a d’abord un homme qui a connu l’ombre. Un homme qui sait intimement ce que signifie ne pas s’aimer.

Pendant des années, j’ai traversé la noirceur. Plusieurs fois, j’ai voulu éteindre ma propre lumière. Ce n’est que récemment que j’ai trouvé le chemin de l’amour véritable — l’amour de moi-même.

Merci de prendre quelques instants pour me découvrir au-delà des apparences. Nous avons tous une histoire. Voici la mienne.


Dès l’âge de neuf ans, mon existence a basculé.
J’étais encore cet enfant qui rêvait grand lorsque, un soir, j’ai vu ma mère tenter de poignarder mon père.
Par réflexe, j’ai crié : « Papa ! » juste à temps pour éviter le drame.
Les secours sont arrivés. Ma mère fut menottée, internée.
Diagnostic : schizophrénie sévère.

Ce jour-là, mon innocence s’est envolée.
Mon père, homme d’affaires absorbé par ses responsabilités, a fait de son mieux.
Mais la blessure de l’abandon s'était déjà installée.

En quête d’amour, j’ai cherché à plaire à tout prix.
J’ai appris à me définir à travers les yeux des autres.
Cela m’a mené à des amitiés toxiques, des relations destructrices.

Malgré tout, à 20 ans, le Casino de Montréal m’a recruté pour diriger leur prestigieuse section VIP.
J’avais un titre, un fonds de pension, un style de vie enviable...
Et pourtant, derrière ce vernis de réussite, je m’égarais.
L’argent, la reconnaissance, les apparences : je pensais y trouver le bonheur.
Je me suis anesthésié. Je me suis perdu.
Les excès se sont multipliés jusqu'à ce que ma santé décline dangereusement.

Un jour, poussé par un sursaut de vie, je suis allé consulter.
Face au médecin, je lui ai avoué n’avoir plus la force de continuer ainsi.
La peur d’un destin similaire à celui de ma mère m’étreignait.

Il m'a dirigé vers une psychologue.
À notre première rencontre, encore rempli d'arrogance, je lui ai lancé :
« Êtes-vous capable de me dire comment être heureux ? »

Elle a souri doucement et m’a répondu :
« Pars à la rencontre de toi-même. À 25 ans, tu n’as rien à perdre. »
Je croyais que le bonheur se trouvait dans les livres.

Elle m’apprenait qu’il se trouvait en moi.
Alors, j'ai quitté mon emploi — malgré l'incompréhension de mon père, qui croyait que « travail et bonheur » finiraient par se rejoindre.

Le cœur chargé d’espoir, j’ai pris la route vers New York.
Mais ce rêve d’envol est vite devenu cauchemar.
Dans les milieux huppés, j’ai côtoyé la noirceur : drogue, sexe, égo dévorant.

À 28 ans, je me suis retrouvé inconscient, seul dans une ruelle, victime d’une overdose.
Un dernier réflexe m’a permis d’appeler mon père, qui est venu me chercher.

De retour à Montréal, j’ai tenté de « rentrer dans le moule ».
Je me suis inscrit à l’université, obtenant un baccalauréat en gestion, puis poursuivant un MBA, malgré les jugements sur mes différences.

Contre toute attente, j’ai remporté le Prix MBA et décroché des mandats prestigieux, notamment avec le Cirque du Soleil à Dubaï.

« J’avais enfin atteint l’épiphanie du succès. »
Du moins, c’est ce que je croyais.

Ma mère, malgré la distance, continuait de m’appeler chaque jour.
Un jour, un appel bouleversa tout : elle était mourante.

Sans hésiter, j'ai quitté Dubaï pour revenir à ses côtés.
Dans les couloirs de l’hôpital psychiatrique, parmi ceux que la société oublie, j'ai vécu une révélation.
Ces êtres, sans masque ni jugement, m'offraient un amour pur.

Au dernier souffle de ma mère, je lui ai promis de chercher mon bonheur véritable.
Elle est partie en paix, dans mes bras.

À l’hôpital, un patient m’a reconnu :
« Es-tu le fils de Lady Margot ? Depuis vingt ans, ici, tu es connu comme le Prince Marc. »

Ce jour-là, j’ai compris que ma mission était claire : je devais m’honorer comme un prince.

J'ai poursuivi mes études : doctorat en santé mentale (entamé), PNL, hypnose humaniste et ericksonienne, intelligence émotionnelle et positive.

J’ai compris que la véritable transformation ne se trouve pas dans les titres, mais dans la réconciliation avec soi-même.

Je me suis offert mon propre château — le Château Saint-Ambroise — et j'ai fondé Asana Coaching, un espace pour enseigner ce que l'on n'apprend pas à l’école : l’art de se retrouver.

Aujourd’hui, après plus de 10000 heures de coaching, j’accompagne les âmes prêtes à se choisir pleinement.
Je sais que nous vivons dans une époque où la souffrance silencieuse est devenue monnaie courante.
Je sais aussi que le bonheur véritable commence par un acte de courage : s’aimer.

Avec le temps, j’ai appris à m’accueillir dans toutes mes couleurs.
Je ne cherche plus à faire l’unanimité.
Je cherche la vérité.

Et je m’honore, matin et soir, avec la même conviction que celle que j’ai murmurée au chevet de ma mère.


Une chose est sûre : je ne me laisserai plus jamais tomber.
Très humblement, cœur à cœur, d'âme à âme,
je vous souhaite de construire une vie à la hauteur de tous les cadeaux que la vie vous a confiés.

Vous êtes infiniment plus extraordinaire que vous ne l’imaginez.
Aimez-vous à la folie.
Car tout commence par ces trois mots simples et puissants :
« Je m’aime énormément. » ainsi que mon mantra de vie : 10/10 ou rien